... A Nankin, de nonbreuses jeunes-filles furent emmenées de force pour servir de divertissement à la troupe.
Certaines furent déshabillées et liées de façon permanente à des chaises, des barreaux de lits ou des piliers, dans des poses grotesques, afin de faciliter le viol.
Ce fut le cas d'une Chinoise de 11 ans, qui mourut après deux jours de viols continus. "Entre ses jambes, la vision de cette zone déchirée, poisseuse et dégoulinante de sang était insupportable", nota un témoin.
Pour les soldats japonais, les vagins empalés étaient d'ailleurs devenus une sorte de fantasme. Dans les rues de la ville, d'innombrables corps de femmes gisaient les jambes écartées, les objets les plus insolites enfoncés en elles.
Morceaux de bois, bouteilles de bière et même cannes de golf ou fusées de feu d'artifices, tout semblait devenu prétexte à distraction, sinon à ambition artistique...
Et puisqu'ils se réjouissaient d'un rien, les soldats japonais ne rechignaient pas non plus sodomiser des prisonnier ou - mieux encore - à les forcer, sous la menace de leurs armes, à s'accoupler avec des nonnes ou même des cadavres, exécutant sans pitié celui qui s'y refusait ou ne s'avérait pas à la hauteur de la tâche...
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