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| Le Yamato : en 1945, c'était le plus puissant mais aussi le plus inutile cuirassé du monde... |
… ironiquement, le premier - mais non le moindre - de ces handicaps réside désormais… dans l’absence désormais quasi-totale d’ennemis à combattre sur mer !
Depuis le "Tir aux pigeons des Mariannes" en juin 1944, l’Aéronavale japonaise a tout simplement cessé d’exister, et depuis la Bataille de Leyte, en octobre, c’est toute la Marine impériale qui a pour ainsi dire été rayée de la surface des flots.
Aux quatre coins de l’Empire, et dans les eaux japonaises, on trouve encore, ici et là, des destroyers nippons, et même des croiseurs, tous en mauvais voire très mauvais état, ainsi que l’un ou l’autre porte-avions plus ou moins endommagé ou toujours en construction, mais dans tous les cas sans le moindre appareil à son bord.
On trouve également quelques vieux cuirassés à ce point amochés par des années de guerre qu’ils seraient bien incapables de reprendre la mer et de livrer bataille à qui que ce soit,… quand bien même parviendrait-on à leur fournir le mazout nécessaire !
En définitive, la seule arme un tant soit peu offensive dont dispose encore le Japon n’est autre que le super-cuirassé Yamato, un monstre de 70 000 tonnes et éternel monument d’inutilité que l’Amirauté, ne sachant plus quoi en faire, se résignera à sacrifier en avril 1945, avec une poignée de navires survivants, dans une bien futile mission-suicide au large d’Okinawa (1)
Dit autrement, avant-même qu’ils n’entrent en scène, les chances de victoires des bâtiments de la Royal Navy sont extrêmement faibles, pour ne pas dire inexistantes, et leur rôle essentiel se limitera, à l’évidence, et comme c’est d’ailleurs le cas pour les bâtiments américains, à bombarder les côtes ennemies et à appuyer les différentes opérations de débarquement qui, un jour peut-être, se dérouleront au Japon lui-même…
(1) sur la pitoyable histoire du Yamato : Saviez-vous que… Ten-Go-Sakusen
Depuis le "Tir aux pigeons des Mariannes" en juin 1944, l’Aéronavale japonaise a tout simplement cessé d’exister, et depuis la Bataille de Leyte, en octobre, c’est toute la Marine impériale qui a pour ainsi dire été rayée de la surface des flots.
Aux quatre coins de l’Empire, et dans les eaux japonaises, on trouve encore, ici et là, des destroyers nippons, et même des croiseurs, tous en mauvais voire très mauvais état, ainsi que l’un ou l’autre porte-avions plus ou moins endommagé ou toujours en construction, mais dans tous les cas sans le moindre appareil à son bord.
On trouve également quelques vieux cuirassés à ce point amochés par des années de guerre qu’ils seraient bien incapables de reprendre la mer et de livrer bataille à qui que ce soit,… quand bien même parviendrait-on à leur fournir le mazout nécessaire !
En définitive, la seule arme un tant soit peu offensive dont dispose encore le Japon n’est autre que le super-cuirassé Yamato, un monstre de 70 000 tonnes et éternel monument d’inutilité que l’Amirauté, ne sachant plus quoi en faire, se résignera à sacrifier en avril 1945, avec une poignée de navires survivants, dans une bien futile mission-suicide au large d’Okinawa (1)
Dit autrement, avant-même qu’ils n’entrent en scène, les chances de victoires des bâtiments de la Royal Navy sont extrêmement faibles, pour ne pas dire inexistantes, et leur rôle essentiel se limitera, à l’évidence, et comme c’est d’ailleurs le cas pour les bâtiments américains, à bombarder les côtes ennemies et à appuyer les différentes opérations de débarquement qui, un jour peut-être, se dérouleront au Japon lui-même…
(1) sur la pitoyable histoire du Yamato : Saviez-vous que… Ten-Go-Sakusen
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